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Pourquoi et comment utiliser les outils de tracking en affiliation

La plupart des plateformes d’affiliation vous proposent d’utiliser des outils de tracking et des identifiants de suivi, pour connaître l’origine de vos ventes en tant qu’affilié.  Vous avez tout intérêt à les utiliser et nous allons voir pourquoi et comment faire.

Mais tout d’abord, que se passe-t-il lorsque vous réalisez une vente en tant qu’affilié ?

Si vous utilisez une plateforme telle que 1TPE, vous recevrez un email pour vous avertir que vous avez touché une commission sur vente. En vous rendant dans votre compte utilisateur, vous trouverez un récapitulatif de vos ventes et commissions organisé par date. En cliquant sur une de ces dates, vous accéderez au détail de ces dernières, avec  notamment le vendeur, la fiche produit, etc. et une dernière catégorie intitulée “tracking“.

C’est ce qui nous intéresse ici.

Si vous n’utilisez pas cette variable, vous ne pouvez pas savoir dans quel “contexte” s’est effectuée la vente (par “contexte”, j’entends la page d’où l’acheteur a cliqué sur votre lien puis passé commande). En effet, imaginons que vous ayez posté votre lien d’affilié dans différents articles de votre blog, voire sur différents blogs et qu’il se trouve aussi dans votre newsletter, et même dans plusieurs messages de votre newsletter.

Votre acheteur peut avoir cliqué sur n’importe lequel de ces liens. Or, pour optimiser vos efforts de marketing, il est très utile de connaître dans quel contexte il s’est décidé à acheter le produit dont vous faites la promotion.

Pourquoi tracer l’origine de vos ventes en tant qu’affilié ?

Tout d’abord parce que cela vous permet de connaître le “contexte” de la vente. Des copywriters célèbres, comme Christian Godefroy, vous expliqueront que l’efficacité d’une lettre de vente peut se jouer (à 10% de ventes près !) sur un seul mot. Savoir si la vente provient d’une page de présentation du produit, d’un article de blog dans lequel vous le mentionnez, ou d’un des emails de votre séquence de follow-up est donc a fortiori important.

Si vous remarquez que c’est au bout du cinquième email où vous parlez du produit que les gens achètent le plus, c’est un indice utile. L’exposition répétée au message de vente peut être ce qui a décidé l’acheteur à passer à l’action, ou bien cela peut être votre email lui-même qui est particulièrement persuasif et convaincant. Dans les deux cas, cette donnée vous apporte un feedback sur vos efforts de marketing et, plus important encore, vous permet d’en tirer des enseignements que vous pourrez mettre en œuvre ailleurs.

Imaginons par exemple que la moitié de vos ventes sur un produit proviennent du premier email que vous envoyez aux personnes qui s’inscrivent sur votre mailing list. Vous aurez sans doute envie d’en faire de même pour d’autres produits et d’autres listes. De plus, vous pouvez également, grâce aux outils analytiques proposées par votre plateforme d’affiliation, connaître le nombre de clics sur un certains liens et le taux de transformation.

Maintenant, vous savez que c’est dans l’email n°1 que vous réalisez le plus de vente, mais vous pouvez également mener des tests pour savoir à quel endroit de votre mail ce lien convertit encore mieux. Par exemple, tout en bas de votre mail, tout en haut, ou dans le corps du texte.

Utiliser ces outils analytiques et tracer l’origine de vos ventes affiliées vous permet ainsi d’optimiser votre tunnel de vente, et de vous donner des idées pour améliorer l’ensemble de votre marketing, en voyant ce qui marche dans un domaine et en le testant dans un autre.

Enfin, si vous proposez à certains de vos prospects un bonus de votre création à l’achat d’un produit pour lequel vous êtes affilié, ces identifiants de suivi vous permettent de savoir à qui les envoyer ou à quel numéro de facture ils correspondent.

Comment utiliser les identifiants de suivi sur 1TPE et Clickbank

Il existe des tonnes de programme d’affiliation différents, de la plateforme auto-hébergée du petit site e-commerce, aux mastodontes de l’affiliation, comme Clickbank. Beaucoup d’entre elles (mais pas toutes) vous proposent des outils de suivi. Ici, nous allons voir comment faire avec 1TPE et Clickbank.

Le principe est simple, il vous suffit de modifier légèrement vos liens affiliés, en ajoutant un identifiant de suivi à la fin.

Ajouter un identifiant de suivi sur un lien affilié Clickbank

La plateforme d'affiliation Clickbank et les identifiants de suivi

Chez Clickbank, il faut que vous ajoutiez la variable “?tid=” à la fin de votre URL, puis votre identifiant de suivi. Cela vous donne des liens qui ressemblent à ceci :

http://affilie.vendeur.hop.clickbank.net/?tid=identifiantdesuivi

Vous trouverez toutes les explications de Clickbank sur le sujet sur cette page : Ajouts d’identifiants de suivi à vos HopLinks.

Utiliser les outils de tracking de 1TPE

La plateforme d'affiliation 1TPE et les outils de tracking

Chez 1TPE, même principe, mais la variable est ici “?tk=”. Cela vous donne un lien qui ressemble à ça :

http://go.affilie.vendeur.1.1tpe.net?tk=tracking

Vous trouverez toutes les informations sur les outils de tracking de 1TPE sur cette page : Foire Aux Questions.

Deux-trois astuces en passant…

Disons que vous ayez un blog consacré à l’hygière dentaire. Et à plusieurs endroits de ce blog, vous recommandez l’usage d’un puissant dentifrice anti-tartre : sur deux articles différents, dans votre sidebar, et dans votre page d’à propos car vous avez une sourire éclatant. Bref, vous voulez pouvoir tracker l’efficacité de chacun de ces liens ! Sans même parler de l’utilité de masquer ses liens d’affiliation, passons tout de suite au “comment faire” ?

Pour cela, je vous recommande d’utiliser Pretty Link, un plugin WordPress gratuit que vous trouverez ici : Pretty Link Lite. Avec ce plugin, vous pourrez créer autant de redirections que vous le souhaitez (il existe une version payante qui permet de faire des redirections en iFrame, mais c’est un autre sujet – la version gratuite suffit largement dans le cas présent).

Pour chaque page (et votre sidebar), vous pouvez créer une redirection différente, pour que chacune héberge un identifiant de suivi différent. Par exemple :

  • http://www.monsite.com/dentifrice-anti-tartre/ pour votre premier article, avec l’id de suivi “post1”
  • http://www.monsite.com/dentifrice-antitartre/ pour votre deuxième article, avec l’id de suivi “post2”
  • http://www.monsite.com/recommande/dentifrice-anti-tartre/ pour votre sidebar, avec l’id de suivi “sbar”

Dans vos emails, c’est encore plus simple. Si vous utilisez AWeber, vous n’avez même pas à vous préoccuper de masquer vos liens d’affiliation, car AWeber crée lui-même des redirections pour chacun de vos liens (dans une perspective analytique, encore une fois). Donc dans votre séquence de mail, il vous suffit de créer des liens comme ceci sur vos ancres :

  • http://affilie.vendeur.hop.clickbank.net/?tid=email1
  • http://affilie.vendeur.hop.clickbank.net/?tid=email2
  • http://affilie.vendeur.hop.clickbank.net/?tid=email3

Enfin, et parce que lors de la redirection votre identifiant de suivi peut être visible, je vous conseillerais d’utiliser des identifiants de suivi qui ne soient pas trop long et qui n'”intrigueront” pas l’utilisateur.

En effet, et même si ça ne change absolument rien au prix pour elles, il y a certaines personnes que ça défrisera de vous voir toucher une commission (c’est pourquoi certains webmasters préfèrent utiliser un plugin comme Pretty Link Pro pour avoir des redirections invisibles). Par exemple, au lieu de “?tk=email1”, vous pouvez mettre “?tk=e1”.

Ensuite, le plus important, c’est que vous vous rappeliez bien à quoi correspond chaque ID de tracking. 😉

Le cliché du lifestyle du web entrepreneur : les palmiers, la plage, un transat et le PC !

Les 5 dangers du Web Entrepreneur

Vous connaissez ce mythe bien répandu : celui du lifestyle du web entrepreneur se prélassant au soleil, tranquillement installé avec son PC sur un transat, au bord d’une plage paradisiaque parsemée de palmiers ?

Si on passe sur le fait que bosser avec un PC lorsqu’il y a trop de luminosité est impossible, que ni l’eau ni le sable ne font pas bon ménage avec les composants électroniques, et qu’à moins d’avoir une autonomie de 10 heures sur votre PC vous aurez rapidement besoin d’une prise de courant… ce cliché a de quoi faire rêver, assurément !

Lorsque vous atteignez le stade qui permet d’embrasser ce lifestyle fait de voyages, de rencontres et de soleil, il y a également plusieurs dangers qui vous guettent… J’aurais pu les appeler les « 7 péchés de l’entrepreneur web » mais, à vrai dire, la plupart de ces « péchés » ne sont liés qu’à un seul : la paresse ! Les voici…

1. Se reposer sur ses lauriers

Ça y est, vous générez plusieurs milliers d’euros tous les mois grâce à vos sites. Tout est automatisé, c’est le pied ! Vous pouvez passer vos journées à glander, vos soirées à sortir avec vos potes, c’est pareil : les commissions tombent, les ventes sont générées. Chaque jour vous bénissez l’univers d’être né au bon moment, et pas 30 ans plus tôt ! Qu’est-ce que vous feriez sans Internet ? Probablement que vous subiriez la routine du métro/boulot/dodo. Ah ah, très peu pour vous !

Sauf qu’au bout d’un moment, ne rien faire devient une habitude (ou plutôt « ne pas travailler », car il y a toujours des choses à faire quand on a du temps et des idées !). Vous n’avez plus la gnaque qui vous animait à vos débuts sur le web. Vous consultez à peine vos emails et les données analytiques de vos sites. Vous ne vivez même pas la semaine de 4 heures, mais la semaine du ¼ d’heure.

Le grand danger qu’il y a là, c’est qu’Internet change très vite. Il suffit que Google fasse une mise à jour bien méchante, que Google vous foute en l’air votre compte Adwords, ou que Google vous fasse un autre coup tordu dont il a le secret pour que voyiez une bonne partie de vos revenus disparaître !

Vous avez dansé tout l’été voire toute l’année, et BOUM, vous voilà grillé : obligé de vous remettre au boulot d’arrache-pied pour retrouver vos revenus. Tout ça alors que si vous aviez continué à bosser, vous seriez resté dans le coup et auriez développé d’autres sources de revenus.

C’est sans doute le danger n°1 qui guette le web-entrepreneur : se laisser aller et se reposer sur ses lauriers.

2. Ne dépendre que d’une source de trafic

On l’a vu avec la dernière MAJ Penguin de Google : des milliers et des milliers de sites ont perdu 80% de leur trafic du jour au lendemain. Ce sont autant de personnes qui ont vu leurs revenus fondre d’autant en une seule journée. Des entreprises ont du mettre la clef sous la porte, licencier leurs employés, et beaucoup de webmasters se sont retrouvés démunis. Les SEO eux-même ne savent plus quoi faire (certains ont des idées ceci dit) !

C’est donc l’occasion de rappeler que Google n’est pas tout (même si, OK, c’est vrai, Google c’est quand même beaucoup) et qu’il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Mais quelles sont les autres sources de trafic à développer alors ?

La première chose que tout web-entrepreneur devrait faire, c’est de se bâtir une et même des listes. C’est à la fois la clef de voûte d’un business online, et une sécurité en cas de coup de dur. Une fois que les gens qui visitent votre site se sont inscrits sur votre mailing list, vous pouvez les recontacter, pratiquement à volonté.

Ensuite, il y a les médias sociaux. Développer une présence sur Twitter et sur Facebook doit faire partie intégrante de vos stratégies de développement web. Bien sûr, cela ne sera cependant pas suffisant dans la plupart des cas, mais on parle bien de diversifier ses sources de trafic, non ? Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Et n’oublions pas YouTube, Dailymotion et consorts si vous faites de la vidéo.

Si vous postez régulièrement des commentaires sur les blogs de votre ou vos niches, que vous participez sur les forums avec une signature qui donne envie de cliquer dessus, que vous avez des articles invités, etc. ce sont autant d’autres sources de trafic.

Enfin, il y a le trafic payant. OK, par définition il faut payer, mais si c’est rentable, pourquoi se priver ? Il y a Google, Yahoo/Bing, Facebook, et d’autres réseaux plus méconnus, du style NeverBlue. Autant de pistes à explorer pour diversifier vos sources de trafic ! Et il y en a certainement d’autres…

3. Ne dépendre que d’une source de revenus

Même si cela ressemble beaucoup au point n°2, il ne s’agit pas de la même chose. Ce que j’entends par là, c’est de dépendre d’une seule plateforme d’affiliation par exemple, d’une seule régie publicitaire, d’un seul produit.

Le risque, c’est que le jour où votre niche passe de mode, que la régie publicitaire décide de vous bannir à vie (merci Google, encore une fois !) ou que votre produit ne se vend plus, vous vous retrouvez dans la même situation : vos revenus réduisent comme peau de chagrin, voire disparaissent totalement.

Même si cela semble peu probable aujourd’hui pour les leaders du marché, la même chose peut se produire avec votre plateforme d’affiliation : si une décision de justice intervient, que les standards web changent et bloquent tous les cookies, ou que votre plateforme d’affiliation ferme sans prévenir…

C’est ce qui s’est passé avec la plateforme française Paykoo. Beaucoup de marketeurs et web-entrepreneurs n’ont jamais touché les sommes qui leur étaient dues (j’utilisais très peu cette plateforme et personnellement je n’ai que 70€ qui n’ont jamais été payés, mais pour d’autres, ce sont plusieurs centaines ou milliers d’euros qu’ils ne verront jamais poindre dans leur compte en banque).

Varier vos sources de revenus est donc une chose essentielles : utilisez les grandes plateformes d’affiliation pour les produits numériques (Clickbank, 1TPE) mais développez aussi des niches vendant des produits physiques. Il y a Amazon pour la plus célèbre, mais vous trouverez également beaucoup de sites de e-commerce qui développent leurs propres programmes d’affiliation.

Encore une fois, plus vous avez de sources de revenus différents, moins le crash de l’une d’entre elles se révèlera problématique. Les autres seront là pour compenser et vous évitez d’aller bosser chez MacDo en cas de coup dur !

4. Ne pas veiller régulièrement sur vos sites

Quand on a un réseau de sites de niche, on a tendance à les laisser tourner d’eux-mêmes. C’est un peu le but, non ? Mais même si c’est pénible, il y a plusieurs choses à faire régulièrement :

• Vérifier régulièrement toutes les pages importantes

Il faudrait mener une inspection au moins une fois par semaine, pour vérifier que toutes les pages-clefs de vos sites fonctionnent comme prévu : landing pages, squeeze pages, page de vente, page de remerciement, pages de téléchargement, etc.

Il m’est déjà arrivé de laisser une page de vente entièrement en gras à cause d’une balise « strong » mal fermées. Idem, pour des boutons « Acheter » d’Optimize Press qui, suite à une mise à jour du thème, avait été laissés en anglais.

Faites une liste de toutes les pages importantes de vos sites, et allez y jeter un coup d’œil régulièrement. Cela vous prendra un peu de temps chaque semaine, mais vous évitera surtout de perdre bêtement des ventes ou des commissions !

• Vérifier vos séquences de follow-up

En vous réabonnant à vos propres listes comme le ferait un de vos prospects, vous pourrez vérifier sans effort que tout fonctionne bien dans chacun de vos mails. Vous n’aurez qu’à attendre qu’ils arrivent dans votre boîte mail et cliquer sur chaque lien qu’il contient. Ce sera sans doute aussi l’occasion d’améliorer votre séquence de mails, et de modifier ceux qui à la lecture vous semblent plus faibles et de les améliorer.

• Veiller sur la sécurité de vos sites

Personne n’est à l’abri de se faire hacker son site. Mais il y a des choses très simples que vous pouvez faire pour remettre tout en ordre très rapidement.

Tous les mois, vous devriez faire une sauvegarde FTP de l’ensemble de votre site. Ouvrez FileZilla, et téléchargez l’ensemble de vos dossiers ! Gardez également vos sauvegardes précédentes, par sécurité.

Installez le plugin DB-backup sur votre site et configurez-le pour qu’il vous envoie régulièrement une sauvegarde de votre base de données (au minimum toutes les semaines). Ce plugin a sauvé plusieurs de mes sites, et plus d’une fois !

Réglez Google Webmaster Tools pour que vous receviez automatiquement les alertes de sécurité et erreurs de crawl dans votre boîte mail. Cette nouvelle fonctionnalité est simple à mettre en place : rendez-vous dans votre compte, cliquez sur « Préférences » et choisissez votre adresse email au lieu de « Ne pas rediriger les messages ».

Enfin, je vous conseille d’installer un plugin tel que WordFence, qui vous informera des fichiers suspects (tout en vous expliquant pourquoi ils sont suspects) et vous préviendra par email si des modifications inattendues de vos fichiers surviennent.

• Vérifier que tout tourne bien après chaque MAJ

WordPress le dit bien : « Faites une sauvegarde avant toute mise à jour importante », qu’il s’agisse de la MAJ de vos plugins, ou de celle du moteur de WordPress. En effet, ces mises à jour peuvent générer des erreurs. À défaut de faire ces sauvegardes systématiquement (vous les aurez déjà de toute façon), vérifiez au moins que tout continue à bien fonctionner sur votre site une fois que vous les avez effectuées.

C’est certes un peu fastidieux si vous gérez des dizaines de sites, mais c’est encore une fois une habitude qui vous évitera de passer bêtement à côté de ventes ou de commissions !

• Redonner un coup de jeune à vos sites au moins une fois tous les deux ans

Le web évolue constamment et, comme je l’ai déjà lu ou entendu quelque part un jour : « Un an sur le web correspond à 10 ans dans la vie réel ». Cela vaut pour tout, y compris le design de vos sites. Ce qui était pimpant en 2009 a l’air plutôt décrépi en 2012.

Pour cette raison, changer régulièrement votre thème WordPress (au moins une fois tous les deux ans) est une bonne idée. Et ça tombe bien, vous trouverez plein de thèmes WordPress au goût du jour sur ThemeForest ou ElegantThemes pour à peine 30$.

Cela prend certes du temps de trouver un thème qui vous plaît vraiment, mais une fois que c’est fait, vous n’aurez plus à vous en préoccuper pendant plusieurs années !

5. Essayer de tout faire tout seul

Voilà sans doute le seul danger qui n’est pas lié à la paresse, et qui vous permettra au contraire de vous la couler douce grâce à un investissement judicieux.

Quand on débute sur le web et qu’on n’a pas d’autres moyens que sa propre huile de coude, on fait tout tout seul. Mais une fois que vous aurez acquis l’expérience et les moyens nécessaires, l’étape la plus importante, c’est de savoir déléguer. C’est ce que les anglo-saxons appellent l’ « outsourcing », et c’est ce qui permet de passer à la vitesse supérieure.

Qu’il s’agisse d’effectuer de la veille, de produire des articles, de créer des backlinks, de gérer les relations avec vos clients si vous vendez des produits, etc. vous pouvez déléguer ses tâches, pour vous concentrer sur l’essentiel (c’est tout le principe de la Semaine de 4 heures, soit dit en passant).

Il existe de nombreux sites où vous pouvez engager des freelances. Celui que j’utilise est oDesk. Recruter (et manager) la ou les bonnes personnes peut certes être fastidieux. Mais une fois que vous aurez formé une équipe efficace (votre « dream team » !), vous pourrez retourner à la plage et à vos palmiers, avec la sensation agréable, non de glander, mais d’être devenu le chef d’orchestre de votre business en ligne.

Et pour vous, quels sont dangers liés à votre activité en ligne, et comment les avez-vous dépassé ?